Plus loin, on embrassait encore d’immenses paysages quand la route s’élevait pour franchir des reliefs occupés par une forêt encore maigrichonne ici :
Le soir, après 200 km, un petit camping perdu nous accueillait pour la nuit :
Proche de là, une vaste zone est envahie par un sable dont la couleur orange était renforcée par la lumière du soir :
En fait, une trouée dans les montagnes renforce les vents dominants à son débouché et ainsi le sable se dépose en formant une grande dune «primaire» :
Cette dune essaime dans la zone en d’autres dunes dont les plus éloignées se perdent dans la forêt ou sont fixées par la végétation qui arrive à pousser :
Une longue balade dans cette zone nous a beaucoup plu et les clichés originaux se sont multipliés !
Même une mise en scène imaginée grâce à un vieux morceau de bois trouvé par Bernadette…
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